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MR. SAMMIS: I understand that he has since.
SENATOR SMITH: Were these payments made through yourself or any other officer of the Marconi Co.?
MR. SAMMIS: I have already stated that I did not see the money, did not expect to, and did not wish to.
SENATOR SMITH: Do you mean that you did not see a check or an envelope containing the money?
MR. SAMMIS: I have not taken part in the transaction one iota, one way or the other.
SENATOR SMITH: Let us clear this up as we go along. I think it is a most distasteful matter to you, as it is to the committee, and I think to the public.
MR. SAMMIS: I have not done anything I am ashamed of, and if I can clear my record, that the newspapers have impugned, I want to do it, and I am sure you want to help me.
SENATOR SMITH: Have you done anything in this matter, about which we have just been speaking, that you are very proud of?
MR. SAMMIS: I have not done anything I am ashamed of.
SENATOR SMITH: I did not ask you that. I want to know whether you are proud of it?
MR. SAMMIS: Yes; I am proud of the fact that, being an employer of labor, and being the superior of poorly paid men, or mediumly paid men—men who do not see very much of this world's goods—I will do them a good turn honestly if I can, and that I consider I have done. I know of no law that can forbid a man selling his personal experience, after he comes ashore, and we have no rule by which we could prevent them from doing it.
SENATOR SMITH: Then am Ito understand from what you say that, so far as your opinion goes, this practice to which I am calling attention will be continued?
MR. SAMMIS: I should consider it very dangerous indeed—and I had intended to bring it to your attention—to forbid them, by some hard and fast rule, which you have indicated, along that line, because the result would be that you would obtain the very results you now have. It would seem only reasonable that if no recognition whatsoever, in standing or financially, should be made of the efforts of these men to get the news off the ships, they would not stir themselves very much to do it.

M. SAMMIS : Je crois savoir qu’il l’a eu depuis.
LE SENATEUR SMITH: Ces paiements ont-ils été faits par votre entremise ou par celle d’un autre officier de Marconi Co.?
M. SAMMIS : J’ai déjà dit que je n’avais pas vu l’argent, que je ne m’y attendais pas et que je ne voulais pas le voir.
LE SENATEUR SMITH: Voulez-vous dire que vous n’avez pas vu un chèque ou une enveloppe contenant l’argent?
M. SAMMIS : Je n’ai pas participé à la transaction d’une façon ou d’une autre.
LE SENATEUR SMITH: Mettons les choses au clair au fur et à mesure. Je pense que c’est une question de très mauvais goût pour vous, pour le comité et pour le public.
M. SAMMIS : Je n’ai rien fait de honteux et, si je peux me permettre de me disculper, que les journaux ont contesté, je veux le faire, et je suis sûr que vous voulez m’aider.
LE SENATEUR SMITH: Avez-vous fait quelque chose dans ce dossier, dont nous venons de parler, dont vous êtes très fiers?
M. SAMMIS : Je n’ai rien fait de honteux.
LE SENATEUR SMITH: Ce n’est pas ce que je vous ai demandé. Je veux savoir si vous en êtes fier?
M. SAMMIS : Oui, je suis fier du fait que, en tant qu’employé laborieux et supérieur d’hommes mal payés, ou peu payés — des hommes qui ne voient pas grand-chose de ce monde —, je leur ferai un bon tour honnêtement si je le peux, et je considère que je l’ai fait. Je ne connais aucune loi qui puisse interdire à un homme de vendre son expérience personnelle, après qu’il soit arrivé à terre, et nous n’avons aucune règle pour l’empêcher de le faire.
LE SENATEUR SMITH: Donc, dois-je comprendre que, d’après vous, cette pratique à laquelle j’attire l’attention sera maintenue?
M. SAMMIS : Je devrais considérer qu’il est très dangereux — et j’avais l’intention de le porter à votre attention — de les interdire, par une règle stricte, comme vous l’avez indiqué, parce que le résultat serait que vous obtiendriez les résultats que vous avez maintenant. Il ne serait que raisonnable que si l’on ne reconnaissait pas les efforts de ces hommes pour obtenir les nouvelles des navires ils ne se remueraient pas pour le faire.

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